Quinze ans après une période de guerres fratricides dans l’histoire de Brazzaville, quinze ans de paix et de stabilité, Brazzaville aurait pu espérer de meilleures conditions de vie. Une vraie politique sociale, l’encadrement de la jeunesse, une répartition de la richesse équitable ...
Je me suis baladé dans une ville où il est normal de payer les factures d’eau et d’électricité sans bénéficier de ces services. J’étais dans une ville où ses habitants ont cessé de se battre, préférant, comme certains (Les SAPEURS), se réfugier dans la religion du tissu, de l’élégance pour échapper à leur misère quotidienne.
J’étais au Congo, à Brazzaville, une belle ville qui s’anime malgré ses maux, d’une population chaleureuse qui vous regarde, l’étranger avec vos préjugés et vous dit le sourire dans les yeux « Mboté! ».
On pourrait penser qu’il s’agit simplement d’un carnet de voyage, mais c’est surtout une déclaration sur la dégradation du tissu
social d’un pays, la crise énergétique, les problèmes écologiques, l’immigration sous-régionale, le niveau de vie d’une population, d’un pays et par extension de l’Afrique.
Le projet compte 19 photographies et 2 vidéos d’art.
Suivez ce lien pour voir vidéo d’art:
https://www.youtube.com/watch?v=5d0eykvIXEQ&t=1s
https://www.youtube.com/watch?v=DxNVSHFLOFY